Surf - ''Enchanted Parenthesis'' : le pèlerinage de Tristan Guilbaud en Nouvelle-Zélande

"Un voyage hors du commun."

- @oceansurfreport -
Tristan Guilbaud n'est pas un doux rêveur. Il sait seulement tirer parti d'une situation délicate et voir le verre à moitié plein, pas l'inverse. Au début du mois de mars 2020, alors qu'ils se trouvaient en Nouvelle-Zélande pour préparer le Piha Pro (QS.10 000), Pauline Ado, Tristan et le photographe/vidéaste Rémi Blanc ont dû faire face à un choix difficile et important, au moment où la World Surf League annonçait l'annulation de toutes ses compétitions pour les mois suivants : rentrer en France alors que la situation sanitaire devenait préoccupante et que le confinement du pays allait être annoncé ou profiter de leur temps libre pour explorer le "Paradis du Pacifique". Face à l'élan de générosité de Paige Hareb, surfeuse pro néo-zélandaise, et de ses parents qui ont proposé un toit aux trois Français, la décision est apparue comme une évidence.

"Les quelques jours de voyage se sont transformés en un séjour de quatre mois, avec des souvenirs plein la tête, des rencontres et des moments qui resteront gravés à vie", commente le surfeur vendéen, originaire de Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Les journées de la fine équipe étaient ainsi rythmées par les sessions, les randonnées, l'exercice physique, les parties de pêche, le yoga, la découverte de la région de Taranaki au sud-ouest de l'île du Nord et la cuisine. Dans son carnet de voyage, Pauline parlait de "l'expérience d'une vie". Comme Tristan qui évoque "un voyage hors du commun".

Réalisation et photo à la une : Rémi Blanc (@riblanc)

   
Mots clés : tristan guilbaud, nouvelle-zélande, pauline ado, rémi blanc, trip, covid, coronavirus | Ce contenu a été lu 2797 fois.
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