Surf - Code Red II : San Diego n'était pas en reste

La houle a traversé quelques 13 000 kilomètres d'océan, sans oublier l'un des berceaux de la Californie.

- @oceansurfreport -

Certains se diront peut-être déjà lassés de parler de cette houle. Peut-on les blamer ? Selon une étude de l'ORSE, notre temps d'attention serait tombé à huit secondes, contre douze dans les années 2000. La faute à la culture du zapping et à la masse d'informations poussée en permanence pour nous solliciter.

Pourtant, lorsqu'une houle telle que celle qui a traversé quelques 13 000 kilomètres d'océan (du sud de l'Antarctique jusqu'à la pointe du Kamchatka en Russie) fait son apparition, il est important de souligner son ampleur et ses répercussions. À l'eau, le spot de Teahupo'o a été le premier à s'animer, suivi des spots de Hawaii (Maui, en la présence de Kai Lenny mais aussi Waikiki) puis des États-Unis comme ça a été le cas à Malibu.

Plus au Sud, le spot de San Diego n'était donc pas en reste. Les beachbreaks de la zone, connus avant tout pour leur puissance et leur consistance lorsque les houles sont solides, ont su accueillir cet événement météorologique et les surfeurs à l'eau se sont régalés de "la meilleure houle depuis des années". 

Une session en deux parties, dont la première est à regarder juste ici : 

- Vidéo par SoCal Surfer - 

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